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C’est quoi, le théâtre-FLE ?

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FLE et didactique des langues

05/09/2016

C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?

Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 
 
 
 C’EST QUOI LE THEATRE-FLE ?


Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
 
 

Chers FLE-collègues, le théâtre en classe est très à la mode, mais de quoi parle-t-on ? J’ai trois pistes à vous proposer :
 
1) Les activités ludiques en classe de langue ;
2) La mise en scène d’une œuvre ;
3) L’enseignement de l’art oratoire.
 
LES ACTIVITÉS LUDIQUES EN CLASSE DE LANGUE
Dans le cadre d’une classe de langue et à tous les niveaux du CECRL, c’est le théâtre tel que les professeurs l’utilisent avec leurs élèves sous forme de jeux ou d’activités pédagogiques. Ils ont pour objectif de développer les compétences langagières, de communication et d’expression et se déroulent en grand groupe ou en sous-groupes.
Ces activités sont très diverses et relèvent largement de la dynamique de groupe et de l’expression corporelle, principalement lorsqu’elles s’adressent à des petits. En vue d’amener l’élève à une production orale spontanée, elles reposent souvent sur des « règles du jeu »: association de la gestuelle et de la parole ou une mise en situation destinée à multiplier les échanges. Elles peuvent aussi être intégrées à un parcours d’apprentissage linguistique et déterminées par la compétence que le professeur souhaite développer : raconter, lire à haute voix, prononcer, etc. Le plus souvent limitées à une séance de travail, ces activités sont indépendantes les unes des autres er ont un ont un rôle de dynamisation de la langue orale, mais aussi de développement personnel.
 
LA MISE EN SCÈNE D’UNE ŒUVRE THÉÂTRALE.
Il s’agit de faire représenter à des étudiants ou à des élèves une œuvre du patrimoine.
La mise en scène passe par différentes étapes qu’il serait trop long de détailler ici. Citons rapidement l’art de pratiquer les coupures et les adaptations culturelles pour ce qui est du texte, mais surtout et dans le domaine de la mise en œuvre de la tâche commune, l’invention, la définition et l’attribution d’une responsabilité pour chacun dans le groupe, les rôles et leurs doublures, les accessoiristes, les D.G. etc..  Reste le choix de la pièce… sachant que les pièces de boulevard ont l’intérêt d’être structurées en actes et en scènes déterminées par les entrées et les sorties des personnages, ce qui facilite le travail. Les ressources sont nombreuses sur Internet, mais il importe, si l’on veut monter une œuvre entière, de la choisir parmi les œuvres libres de droits.
Si ce qui relève des activités théâtrales et des techniques oratoires  peut être utilisé à tous les niveaux du CECRL, la mise en scène d’une œuvre n’est possible qu’à partir d’un niveau B2-C1, non seulement en raison des difficultés linguistiques, mais aussi parce qu’il s’agit d’une tâche collective de longue haleine, avec des responsabilités partagées et un engagement de chacun envers le groupe.
 
L’ENSEIGNEMENT DE L’ART ORATOIRE
L’art oratoire, c’est la dimension technique et esthétique de la parole, considérée ici seulement dans le domaine du théâtre. On parle aussi de diction, mais ce terme a un sens plus restreint. Tout le monde peut suivre une formation pour acquérir les stratégies de communication et le savoir- faire de l’acteur (la diction et ses formes, la maîtrise de la voix et du rythme, l’articulation et l’intonation, les pauses, les trucs, etc.). Dans le cadre d’un cours donné à des apprenants, deux cas sont possibles.
Soit le professeur apprend et utilise les bases techniques pour transmettre les connaissances dans un cours en français.  Cela lui permet de « passer la rampe », ce qui signifie pour un acteur, avoir de la présence, être vu, entendu, compris,  et communiquer efficacement avec son public.
Soit l’enseignant transpose ces techniques oratoires pour vivifier un cours de français ou de langue. Il s’agit dans ce cas d’utiliser la technique de base, de l’insérer dans une batterie d’exercices pour dynamiser l’expression orale et les interactions.
 
Dans les trois cas, le théâtre en tant qu’activité pédagogique avec ses différentes facettes, activités de classe, mise en scène, techniques oratoires, a le grand intérêt, hormis les extraordinaires progrès que l’on constate dans les compétences langagières, culturelles et de communication, de développer de nouvelles aptitudes à parler, à se sentir à l’aise, à communiquer. En bref, à OSER.
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