Portrait d'alumni : Sébastien Courapied, formateur et coach professionnel indépendant
Sébastien Courapied a étudié le russe à l'Inalco. Aujourd'hui formateur et coach professionnel indépendant, il nous raconte son parcours et revient sur ses années à l'Inalco.
Pourquoi avoir choisi l'Inalco pour vos études ?
Officier de l’armée de terre, j’ai été orienté automatiquement vers l’Inalco par l’Institution militaire dans le cadre de l’enseignement militaire supérieur.
Quel cursus avez-vous suivi à l'Inalco ?
J’ai suivi un cursus LLCE en langue russe de 2007 à 2009.
Quel a été votre parcours après l'Inalco ?
Suite à ma scolarité, j’ai pu effectuer un séjour de quelques mois en Asie Centrale dans le cadre de ma fonction d’officier. J’ai été ensuite affecté dans un organisme de formation du ministère des armées où je me suis spécialisé dans l’enseignement des langues puis en ingénierie de formation et pédagogique.
Dans quel domaine évoluez-vous aujourd'hui ?
Je m’apprête actuellement à quitter l’armée pour exercer une activité de formateur et coach professionnel afin d’accompagner les équipes dirigeantes, managers et formateurs internes des entreprises. Spécialisé en andragogie (pédagogie pour adultes), m’étant formé pendant dix mois à titre privé au coaching professionnel, je propose ainsi de travailler sur l’optimisation du potentiel individuel et collectif, de renforcer la communication interpersonnelle et d’appuyer les projets pédagogiques internes : https://www.sebastiencourapied.org/
Que vous ont apporté vos études à l'Inalco dans votre parcours professionnel et/ou vie personnelle ?
L’Inalco m’aura permis de renforcer ma maitrise de la langue russe et de plonger avec passion au plus profond de l’histoire et de la culture de ce vaste espace qu’est la Russie. Cela m’aura permis également de faire de belles rencontres.
Un bon souvenir à l'Inalco ?
Pourquoi un seul bon souvenir ? Je garde particulièrement en tête les passionnants cours d’histoire de Mme de Tinguy, les cours remarquables de grammaire de M. Chinkarouk et les cours exaltants de Mme Pujol sur l’Asie Centrale. J’y venais vraiment avec grand plaisir sachant que j’allais passer un grand moment, entouré du petit noyau d’étudiants que j’ai eu plaisir à côtoyer pendant deux ans. J’avais 40 ans.
Aujourd'hui, quel est votre lien à l'Inalco ?
Ne résidant pas sur Paris, j’ai malheureusement peu de lien avec l’Inalco que je suis uniquement par l’intermédiaire des réseaux sociaux.
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