Portrait d'alumni : Carole Madjo, Analyste Financière à Barclays Investment Bank

Carole Madjo a étudié le chinois à l'Inalco. Travaillant aujourd'hui chez Barclays Investment Bank en tant qu'analyste financière, elle nous raconte son parcours et revient sur ses années à l'Inalco.

Pourquoi avoir choisi l'Inalco pour vos études ?

Ayant particulièrement apprécié mes cours de chinois au lycée, j’ai voulu continuer à étudier cette langue après mon bac et en apprendre plus sur la civilisation chinoise. Je me suis donc inscrite à l’Inalco en parallèle de mes études à Sciences Po Paris.

Quel cursus avez-vous suivi à l'Inalco ?

J’ai effectué une licence de chinois et ai obtenu mon diplôme en 2012.

Quel a été votre parcours après l'Inalco ?

Après l’Inalco, j’ai terminé mon master de Finance & Stratégie à Sciences Po et je suis ensuite partie à Londres où j’ai commencé ma carrière dans la finance. 

Dans quel domaine évoluez-vous aujourd'hui ?

Je travaille depuis l’obtention de mon diplôme en banque d’investissement. Je suis actuellement responsable de la recherche actions sur le secteur du luxe au sein de la banque Barclays.

Que vous ont apporté vos études à l'Inalco dans votre parcours professionnel et/ou vie personnelle ?

Au début de ma carrière, je pense que mes études à l’Inalco m’ont aidé à me différencier un peu plus des autres candidats car la maitrise du chinois était encore assez rare il y a quelques années.

Dans mon poste actuel, je suis également amenée à effectuer beaucoup d’analyses sur le marché chinois étant donné l’importance de ce marché dans le secteur du luxe. Par conséquent, la maitrise du chinois est également un atout.

Un bon souvenir à l'Inalco ?

Je me souviens encore très bien d’un cours de compréhension orale au cours duquel la méthode d’apprentissage préférée de notre professeur était de nous faire chanter des chansons de pop chinoise. Ces cours ressemblaient à des sessions de karaoké et étaient toujours très divertissants !

Aujourd'hui, quel est votre lien à l'Inalco ?

Etant basée à l’étranger, je garde assez peu de lien avec l’Inalco aujourd’hui mais je continue à suivre son actualité sur les réseaux sociaux.